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Une sélection d'articles proposés par CHLOE. Les articles récents sont annoncés en page d'accueil.

Patrimoine disparu d'Orsay

Patrimoine disparu Le château seigneurial, la maison arabe, le château du comte de Rougé, le Bocage, le prieuré, le presbythère, les lavoirs, l'abreuvoir, l'ancien terminus d'Orsay et le château d'eau de la gare d'Orsay, un patrimoine bâti qui a disparu du paysage orcéen.

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Camille Corot a peint le Temple de la Gloire

Reproduction Temple En 1841, le sculpteur Antoine Étex, propriétaire du Temple de la Gloire exécute un portrait en bas-relief de son ami le peintre Jean-Baptiste-Camille Corot. En retour, ce dernier de passage à Orsay en 1842, exécute et lui offre le tableau du Temple.

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Les plaques de cochers à Orsay

Plaques de cochers Les « plaques de cochers », désignent aujourd'hui les anciennes plaques indicatrices de signalisation routière. CHLOE avait recensé ces plaques en 2016 car nous nous étions proposés de suggérer d'incorporer au PLU d'autres protections que les constructions elles-mêmes, par exemple les arbres remarquables ou les vestiges du passé.

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Les « poilus » d'Orsay

Poilus Il y a 100 ans se termina, ce que l’on appelle « la Grande guerre », la première guerre mondiale. Quatre ans de combats harassants, meurtriers, héroïques ont laissé des familles meurtries.

De nombreux Orcéens y ont participé.

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Où sont passés les tableaux du château d'Orsay ?

NatoireA la fin du 18e siècle le château d'Orsay était décoré d'un ensemble de peintures de la main de Charles-Joseph Natoire. Ces tableaux, illustrant des épisodes du roman de Cervantès : Don Quichotte de la Manche, étaient à l'origine des «cartons» de tapisserie. La plupart de ces oeuvres a été préservée et conservée en divers lieux.

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L'affaire Cano

Correspondance

Les auditeurs de la conférence des soirées annuelles de CHLOE du 6 octobre 2016 ont pu apprendre qu'une « mystérieuse malle » avait été découverte en 1975 à Orsay. Cette malle avait appartenu à un orcéen Louis Soullié, libraire et marchand d'art. Elle contenait des documents professionnels inédits, identifiés en 2013.

Parmi ces documents, se trouvait une chemise contenant des lettres d'une correspondance avec un certain M. D. Schmidt, industriel et collectionneur de tableaux à Genève. Il s'agit d'une transaction dans laquelle David Schmidt cherche à revendre à tout prix un tableau d'Alonzo Cano à Louis Soullié, réciproquement, ce dernier profite de l'occasion pour tenter de placer un tableau quelconque auprès du collectionneur. Ce dernier élude ou refuse les propositions de tableaux de peintres suisses : Robert, Calame, ou de peintres français : Courbet, Troyon, mais se laisse tenter par un Vincent Van Gogh et un Monticelli. Soullié s'empresse de lui faire parvenir les tableaux.

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